Bonjour,
C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai accompagné vos réflexions sur le temps pendant deux semaines. J’espère que chaque jour a été une source de questionnement ou de découvertes personnelles, et je serais enchanté de recueillir vos témoignages : qu’avez-vous retenu ? Qu’avez-vous changé dans vos habitudes ? Quel message vous a le plus questionné ? Allez-vous recadrer vos objectifs et vous diriger vers d’autres lectures sur la gestion du temps ou vers des formations ? Quel est votre rapport au temps aujourd’hui ? Quoi qu’il en soit, je vous souhaite un beau parcours…
Si vous constatez que vous continuez à vous interroger sur le temps, c’est une bonne chose : derrière chaque question se trouve une multitude de réponses. Ces réponses sont des voies à explorer, des solutions personnelles. Si vous vous trouvez face à de nombreux choix et vous hésitez sur la direction à prendre, fiez-vous à votre première impression et foncez. Vous aurez le loisir de peaufiner votre choix en progressant. La réflexion seule est vaine. Réfléchissez, ressentez et agissez !
J’aimerais conclure sur une approche plus humaine, voire spirituelle. Rassurez-vous, je ne cherche pas à vous convertir à une idéologie. Comme tous les messages qui ont précédés, cette proposition est à prendre ou à laisser. Et n’oubliez pas que si ce message évoque en vous des interrogations (ou des émotions) particulières, vous pourrez y répondre en fonction de VOTRE parcours, VOTRE personnalité, VOTRE religion, VOTRE philosophie… Ce sont VOS croyances et VOS valeurs personnelles qui donneront à cette conclusion sa véritable dimension.


La Contribution
Vous avez une approche différente de votre temps. Cette vision nouvelle va se confirmer à travers des actions, des émotions et des réflexions qui vont améliorer votre quotidien (d’après les témoignages que je reçois, c’est le cas dès les premiers jours). En vous questionnant et en trouvant des réponses correspondant à vos préoccupations, vous vous êtes donc enrichi. Le piège dans lequel nous tombons facilement, est de garder cette richesse comme un privilège, au lieu de la partager. Comme si en la partageant on en perdait une partie.
Or il se trouve que le don et le partage sont, et ont toujours été, particulièrement encouragés. Que ce soit pour équilibrer, communiquer, rencontrer, aider, plaire, ou encore se plaire… le don est générateur de bonnes énergies.
Comment et à qui donner du temps ?
Les occasions sont nombreuses. Voici quelques exemples :
- Votre nièce a des difficultés en mathématiques ou en anglais. Si vous savez comment aborder ses problèmes, consacrez-lui quelques heures pour la remettre à niveau.
- L’un de vos amis vient de subir une intervention chirurgicale. Si vous supportez les hôpitaux, allez lui rendre visite et relatez vos meilleurs souvenirs.
- Votre collaborateur ne sait pas se servir de ses logiciels et perd un temps fou. Si vous avez les compétences et la patience, aidez-le.
- Un ancien collègue vient de changer de carrière et se consacre à la peinture. Il vous invite à son premier vernissage. Si vous avez la possibilité d’encourager son talent, allez-y. Les artistes débutants se nourrissent d’encouragements…
- Il y a certainement une association près de chez vous qui a besoin de bénévoles inventifs et volontaires. Si vous avez cette sensibilité, faites du bénévolat.
- Parmi vos amis, certains se trouvent en situation de détresse, à cause d’un sinistre, d’un divorce, d’une maladie ou d’un deuil. Si vous en avez les épaules, aidez, apaisez, visitez, consolez, ceux qui en ont besoin.
- Votre frère déménage et doit tout faire en un week-end. Si vous êtes costaud, au travail !
Vous pouvez compléter cette énumération. Il suffit d’intégrer le don du temps dans vos idées.
J’ai bien dit, « SI » à chaque exemple… Ce « SI » est très important. Inutile de vous casser les reins pendant un déménagement, inutile de vous morfondre au chevet d’un malade, inutile de donner des cours d’anglais si vous ne connaissez pas vos verbes irréguliers… Votre contribution doit être efficace.
Donnez une partie de votre temps libre. Ne donnez pas tout ! Ne vous ruinez pas ! Certaines personnes sont si généreuses de leur temps, qu’elles en oublient leur propre vie.
On proteste parfois : qu’est-ce que cela va m’apporter de donner du temps ? J’ai déjà aidé un collègue à déménager, et lorsque j’ai eu besoin de lui, il avait une séance de cinéma…
Si vous donnez une pièce de monnaie à un mendiant, ne vous attendez pas à ce qu’il vous la rende dès qu’il trouvera du travail… C’est une autre personne qui fait partie de votre univers (ou qui y entrera) qui agira de façon bienveillante à votre égard. Et étant donné que votre situation est incomparable à celle du mendiant, l’aide que vous recevrez sera supérieure à une pièce de monnaie. Elle aura une valeur relative à votre situation.
C’est l’un des principes de la contribution : un lâcher-prise sur la comptabilité logico-mathématique. Vous laissez l’Univers gérer une petite partie de votre bien : celle que vous voulez bien céder. Quel retour obtiendrez-vous, en combien de temps, de la part de qui, à quelle hauteur… ? Autant de questions qu’il serait agréable de ne pas vous poser… Vous pourrez tout simplement expérimenter et observer le résultat, qui prend souvent différentes formes.
Un résultat polymorphe… Quel beau sujet d’introspection.
J’attends vos témoignages.
A++
Stéphane SOLOMON
9 octobre 2018 @ 7 h 21 min
Bonjour Stéphane, en allégeant mon emploi du temps de petites choses chronophages comme FB, la télé ou netfix, j ai gagné beaucoup de temps au questionnement sur mon dossier de ma L3 que je réalise en VAE. Ce gain à été tel qu’ alors je n avais pas réussi à le compléter depuis 1 moment, en à peine 2 semaines j ai écrit ma deuxième et troisième ( et dernière ) parties. J ai mis le point final de ma conclusion hier. Et comme il me reste encore du temps je peaufine avec de jolies annexes. Je suis heureuse er sereine. Le temps ce n est pas que de l argent. Du coup, l exercice ayant été rendu plus aisé par la gestion de temps, après obtention de la L3, je m engagerai vers un M1.
Voilà ce que cela m a apporté plus que l ambition et la motivation que j avaient déjà.
Bonne journée
9 octobre 2018 @ 18 h 17 min
J’y ai retrouvé la planification à 50 %. J’y pensais naturellement quand j’étais en première ligne du support utilisateurs/développeurs. Et zappé sur le support du management et autres imprévus type audit, communication du Groupe, ainsi que le coaching de mes apprentis. Ces activités ne sont pas formalisées sur les fiches missions ni les objectifs standard. Je vais penser à les faire prendre en compte.
Ce qui m’a peut-être le plus interpellé est la communication sur mes besoins de modifier mes habitudes, que j’applique professionnellement et non personnellement. Pourquoi cette différence ? il m’est d’une part plus difficile d’imposer mes envies et besoins à mes proches. C’est souvent à force de non dits et de négligence quand on ne fait que se croiser furtivement et que j’ai l’impression qu’aborder ces sujets ne ferait que gâcher ce peu de temps. Et d’autre part, je ne voyais pas l’utilité de parler de ce que je veux faire de mon temps quand j’en suis libre et que mon activité n’a pas d’impact sur le temps des autres. J’envisage cela maintenant comme un engagement potentiel. Pas encore mûre pour appliquer, car je perçois cela comme une entrave à ma liberté.
En revanche, de la même façon qu’il est nécessaire que je prenne des rdvs avec moi-même, il est indispensable que je prenne des rdvs avec mes proches pour être totalement avec eux.
L’importance du verbe est ce que je travaille le plus en ce moment et fais le plus travailler et pour le coup dans mes deux mondes. Je n’avais pas jusqu’ici réellement fait le lien avec la gestion du temps alors que pourtant j’en observe maintenant régulièrement le côté facilitateur d’ambiance et d’obtention d’accords.
Le changement dans mes habitudes est plus une attitude, à savoir :
– La différence est que je vais décider de donner du temps, et non pas accepter de le perdre. Donc le faire volontairement dans un but précis. Toujours savoir pour quoi je le fais ! Et quand je donne du temps aux autres en accepter le résultat. La première personne à qui je le donne par ricochet en en donnant aux autres ainsi est juste moi.
– Je choisis à quel moment je donne de mon temps.
– Pour les petites choses du quotidien agir maintenant plutôt que perdre du temps à réfléchir sans action suivie et me polluer la tête avec une liste interminable de petites choses à faire.
Je ne sais pas si je vais recadrer mes objectifs mais en tout cas je vais les lire et les relire régulièrement pour vérifier qu’ils sont toujours pertinents et suffisamment définis avec la granularité qui fera que je ne me découragerais pas et pourrais mesurer l’avancement objectivement.
Mon rapport avec le temps est évidemment meilleur car je choisis librement de me lever une demi-heure plus tôt , de me coucher 1 h plus tard, ou autre. Je ne subis plus. En fait , je trouve toujours le temps si je le veux. Soit j’arrive à dire non, soit j’accepte d’annoncer un retard soit j’accepte de ne pas être trop perfectionniste en annonçant et pré-validant le niveau de ce que je vais rendre, soit j’arbitre.
Je percevais aussi le temps comme quelque chose qui me fuyait entre les mains sans que j’en sois responsable et en avais un sentiment d’impuissance. Avec toutes ces « révisions », je me sens plus à même d’en profiter sans peur du temps qui passe trop vite.
En conclusion, cela m’a apporté de la confiance en moi, l’acceptation de quelques uns de mes défauts et de mes qualités :p par une prise de recul et une formalisation de mes ressentis dont cette contribution ! A condition que je retourne voir time-coach régulièrement pour me rafraichir la mémoire.
17 novembre 2018 @ 11 h 56 min
Revenue aujourd’hui faire un tour sur time-coach , merci !
18 novembre 2022 @ 21 h 44 min
vds suncular icin hemen web sitemizi ziyaret edin.
20 novembre 2022 @ 23 h 46 min
izmir avukat ile ilgili bilgi almak istiyoiyorsanız bize ulasabilirsiniz.